Privée de salle, Féministes en Roannais dénonce le « double discours » du maire
Parce qu’elle compte une « colleuse » dans ses rangs, l’association Féministes en Roannais s’est vue refuser l’attribution d’une salle pour se réunir. Malgré le « choc » causé par le « veto » du maire, elles ne désarment pas.

« Nous sommes en pleine préparation de la journée du 8 mars et, comme nous sommes environ 25 aux réunions, nous avons demandé une salle au service vie associative de la municipalité », explique Héloïse Frachon, membre fondatrice de l’association Féministes en Roannais.
Une demande simple, pour laquelle elles ont essuyé un refus.